Remarque: Cette lettre fait suite à une première, consacrée à l’huile d’olive, et disponible ici. Je vous conseille de lire la première partie pour être sûr de bien comprendre la seconde partie ci-dessous.
Les polyphénols contre le vieillissement, l’Alzheimer, les maladies cardiovasculaires et l’hypercholestérolémie
Les mitochondries sont comparées aux poumons d’une cellule. Elles produisent de l’énergie en convertissant les éléments nutritifs qui lui sont apportés en ATP (Adénosine Tri Phosphate) qui permet le fonctionnement normal et l’entretien de la cellule. La perte de la fonction des mitochondries est synonyme de vieillissement cellulaire.
Pour mon collègue le Pr Benlemlih :
« Le vieillissement est associé à une biogénèse mitochondriale réduite et à une accumulation de dommages mitochondriaux. »
Fort heureusement l’Hydroxytyrosol, un antioxydant de l’huile d’olive, augmente la formation des mitochondries. Il améliore la fonction mitochondriale en activant les complexes de la chaîne respiratoire dans la cellule. Il devient ainsi un agent de prévention du vieillissement et des maladies liées à l’âge.
Chez les rats traités avec cet antioxydant, on induit l’expression de protéines liées à la longévité des cellules cardiaques [1] [2].
Un autre antioxydant de l’huile d’olive, l’oléocanthal, a un effet fortement anti-inflammatoire, protecteur des maladies cardiovasculaires, et même anti-Alzheimer, en réduisant les plaques bêta-amyloïdes du cerveau (selon des chercheurs de l’université de Louisiane).
En effet, en 2011, Daccache et ses collègues [3] ont montré que « l’oleuropéine et ses dérivés hydroxytyrosol, oléopentandial, étaient capables d’inhiber l’agrégation des protéines Tau in vitro. » Cette agrégation des protéines Tau constitue l’étape clé en cause dans le développement de l’Alzheimer et d’autres maladies neurodégéneratives.
Les mêmes auteurs ont signalé que ces composés peuvent être liés à la réduction du risque de la maladie d’Alzheimer ou des démences. L’alimentation méditerranéenne, caractérisée par la forte consommation d’huile d’olive, peut fournir une base chimique pour le développement des inhibiteurs de l’agrégation de protéines Tau.
Au niveau vasculaire, les polyphénols réduisent la présence des molécules d’adhérence cellulaire aux lipoprotéines athérogènes (LDL et petites VLDL [4]), diminuent l’agrégation des plaquettes à l’origine de caillots [5] et réduisent les réactions inflammatoires (diminution de la protéine C réactive en particulier).
Le Pr Benlemlih rappelle fort justement dans son livre les travaux de Singh et al., 2007 [6] : l’extrait de feuilles d’olivier contenant 4,5 mg/ml d’oleuropéine comme molécule active, serait capable d’inhiber l’activation des plaquettes isolées des individus sains. Les auteurs suggèrent que les polyphénols d’olive agissent en synergie pour réduire l’activation des plaquettes sanguines, ce qui pourrait être utile pour la prévention et le traitement de l’hyperplaquettose (trop de plaquettes) et d’autres maladies cardiovasculaires pour éviter les thromboses.
De même, l’extrait de feuilles d’olivier nommé Oleaeuropaea est capable de réduire l’hypertension artérielle de rats rendus hypertendus. Nous avons pu le vérifier en prescrivant des tisanes de feuilles d’olivier séchées (une cuillerée à soupe bien tassée dans un verre d’eau frémissante).
N’ayez pas peur d’arrêter vos statines : voici comment l’expliquer à votre médecin !
Contre les taux excessifs de cholestérol, nul besoin des hypocholestérolémiants classiques (statines), responsables de tant d’effets secondaires [7] (sauf si vous avez une hypercholestérolémie familiale).
En effet, une enzyme régule le taux de cholestérol dans le sang : c’est l’HMG-CoA réductase. Les polyphénols de l’huile d’olive inhibent cette enzyme et jouent ainsi un rôle important pour prévenir les maladies liées aux excès de cholestérol. Les chercheurs n’ont pas encore défini la dose de polyphénols nécessaire [8].
Ainsi les composés phénoliques du régime méditerranéen (riche en huile d’olive) empêchent les événements biochimiques mis en cause dans la maladie athérogène, notamment l’oxydation des LDL [9]. D’où le lien fort et reconnu entre l’alimentation méditerranéenne et la prévention de la maladie coronarienne.
Evidemment l’arrêt des statines n’a de sens que dans la mesure où vous changez vos habitudes alimentaires, coaché s’il le faut pas un ou une spécialiste, indépendant des lobbies pharmaceutiques ou des produits laitiers.
Les polyphénols pour protéger des infections – y compris chez les séropositifs du Sida, très sensibles aux moindres infections
Contre les infections opportunistes chez les patients atteints ou non du Sida, l’hydroxytyrosol (présent dans l’huile d’olive) a démontré une activité antibactérienne dans les infections intestinales et respiratoires.
L’oleuropéine et ses dérivés (présents dans l’huile d’olive) empêchent ou retardent la croissance d’un large spectre de bactéries et de champignons, y compris ceux pathogènes pour l’homme.
Dans ce cadre, Medina et al. [10] (2006) ont montré le pouvoir bactéricide de l’huile d’olive contre les bactéries nuisibles de la flore intestinale (Clostridium perfringens et Escherichia coli) par rapport à d’autres huiles végétales (tournesol, colza, soja, maïs…).
Ces auteurs ont rapporté aussi que les bactéries pathogènes d’origine alimentaire (Listeria monocytogenes, Staphylococcus aureus, Salmonella enterica, Yersinia sp., Shigella sonnei) ne survivaient pas après une heure d’incubation dans l’huile d’olive.
Oléocanthal et oléopentandial, hydroxytyrosol et tyrosol, sont les composés phénoliques donnant à l’huile d’olive son effet antibactérien. Dans une étude similaire [11], l’activité antibactérienne de l’oleuropéine et de ses dérivés hydroxytyrosol et tyrosol a été comparée à celle de deux désinfectants commerciaux (pour les spécialistes : glutaraldéhyde et ortho-phtalaldéhyde).
Les résultats ont montré que l’activité antibactérienne des composés phénoliques d’olive était supérieure à celle exercée par plusieurs polyphénols d’origine alimentaire (catéchine, épicatéchine, eugénol, thymol, carvacrol…).
Étonnamment, ces agents antimicrobiens naturels ont été aussi actifs que les biocides synthétiques utilisés comme témoins contre Pseudomonas fluorescens (bactérie qui contamine nos fromages), Staphylococcus aureus, Enterococcusfaecalis (bactérie des environnements hospitaliers, de haute résistance naturelle aux antibiotiques), et Escherichia coli.
Les polyphénols pour stimuler l’immunité : le Sida et les cancers
* Contre le virus du Sida
Ils pourraient être utiles associés aux nombreux médicaments du HAART (Traitement Antirétroviral Hautement Actif) afin de maintenir un meilleur statut immunitaire. Nul doute, qu’à toutes les personnes atteintes ou susceptibles de l’être par le virus du sida, on peut prescrire l’huile d’olive fortement concentrée en polyphénols.
La dose la plus élevée doit être choisie à raison de 6 gélules, 2 par 2, matin, midi et soir d’Olivie Riche/Force.
* Contre les cancers
L’avantage est lié à la consommation de végétaux (fruits, légumes, légumineuses, poissons et fruits de mer et au verre de vin rouge, mais il y a en plus l’huile d’olive…), qui dépasse nettement les produits d’origine animale (viandes rouges, charcuterie, produits laitiers…).
Evidemment les chercheurs ont essayé de voir l’impact des produits spécifiques à la terre méditerranéenne. Après le vin rouge qui a permis de définir le French Paradox, ils ont recherché les effets de l’huile d’olive contre les cancers.
Les études ont d’abord été orientées chez le petit animal tel que le rat blanc dit ”Wistar” et en utilisant des cultures de cellules humaines cancéreuses de colon, de leucémie ou de cancer du sein (MCF-7).
Ainsi l’Hydroxytyrosol d’olive a récemment reçu une attention particulière en raison de ses activités antioxydantes, antiprolifératives, pro-apoptotiques (provoquant la mort spontanée des cellules cancéreuses) et anti-inflammatoires, qui peuvent en particulier lutter contre toutes les aspects du cancer [12].
Les spécialistes, par les résultats des études expérimentales, suggèrent qu’en plus des leurs effets antioxydants et anti-inflammatoires, l’hydroxytyrosol et les autres polyphénols d’olive exercent des effets anticancéreux par l’activation des voies de signalisation moléculaire, conduisant à l’induction de la mort ou à l’arrêt de la croissance de plusieurs lignées de cellules tumorales in vitro [13].
Ainsi un régime alimentaire contenant 15% d’huile d’olive, par rapport à l’apport alimentaire journalier normal, réduirait nettement les lésions précancéreuses du sein et du colon chez le rat [14] [15]. La même quantité d’huile de Soja, de Maïs ou de Palme n’a pas le même effet protecteur. Même conclusion avec l’huile de Carthame dans des conditions expérimentales similaires [16].
In vitro, on observe avec l’Oleuropéine et l’Hydroxytyrosol un effet antiprolifératif par apoptose (mort des cellules cancéreuses) plus précoce, et une réduction de la formation des produits de l’oxydation responsables en partie de la cancérogénèse.
Une étude épidémiologique grecque chez 14 807 femmes [17] a aussi permis d’observer une réduction des risques de cancer du sein chez les femmes fortes consommatrices des aliments de la Méditerranée.
Avec un bémol cependant : les auteurs remarquent un biais important, à savoir la plus faible consommation d’hormones (pilule et traitements substitutifs de la ménopause) dans ce pays.
Les polyphénols contre les maladies auto-immunes : diabète, obésité, des rhumatismes à l’Alzheimer et maladies de la peau
L’oleuropéine s’est avérée être un antioxydant efficace doté de propriétés anti-inflammatoires.
Dans les cas de diabète, des études expérimentales utilisant des polyphénols à forte dose (20 mg/kg/jour) pendant 2 mois chez des rats diabétiques, ont montré une diminution de la glycémie de 55 % [18].
L’enquête menée sur 20 343 sujets dans la cohorte de l’EPIC (Prospective Européenne sur les relations cancer et nutrition) a démontré que se nourrir selon les habitudes méditerranéennes est inversement proportionnel à l’incidence de l’hypertension artérielle [19] et de ses conséquences.
Par comparaison, le régime de la modernité qui associe les acides gras des viandes rouges, le beurre, les 3 à 4 produits laitiers par jour et le pain hyper concentré en mauvais gluten, favorise les maladies de civilisation.
En plus des atteintes cardiovasculaires très coûteuses en terme de santé – infarctus et artérite , il y a de plus en plus de maladies rhumatologiques dites de longue durée (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante…).
Chez 90 patients, 27 atteints de polyarthrite rhumatoïde, randomisés (tirés au sort de manière aléatoire) en consommant ou non un traitement par à 6 mg d’Hydroxytyrosol par jour pendant 8 semaines soit 2 grandes cuillères d’Olivie plus 30X ou – avant chaque repas – 4 gélules de 500mg chacune d’OlivieForce ou OlivieRiche par jour. Cela correspondait à une dose quotidienne de 2,0 g d’extrait d’olivier Olivie Riche/Olivie Force. Le groupe témoin a reçu les mêmes capsules mais remplies uniquement de maltodextrine.
Les résultats de cette première étude clinique randomisée sont statistiquement significatifs [20] tant au niveau des signes cliniques que des marqueurs de l’inflammation.
L’art de se soigner par les plantes
Les infusions de carvi ou d’anis étoilé sont très efficaces contre le mal de ventre ; l’huile essentielle de gaulthérie couchée remplace efficacement un anti-inflammatoire non-stéroïdien ; l’ail et et les feuilles d’olivier modulent l’hypertension artérielle… Retrouvez tous les conseils pour vous soigner efficacement et naturellement grâce aux plantes ici.
Face au syndrome hypermétabolique, on a pu suivre 38 patients avec l’Hydroxytyrosol pendant 6 mois soit 2 cuillères d’Olivie plus 30X ou 3 capsules d’Olivie force par jour pendant 6 mois.
Les maladies de la peau telles lupus, sclérodermie, psoriasis, sont liées à des dysfonctionnements immunologiques menant à une inflammation chronique. On peut donc envisager l’utilisation des bio-extraits d’olive riches en polyphénols puissants (Hydroxytyrosol et Oléopentandial) pour soulager les symptômes de ces maladies.
Vers le « Mediterranean parodox » : vin, huile d’olive et froment
En plus de toutes les vertus santé ci-dessus présentées, l’huile d’olive peut être appliquée sur la peau au niveau des zones psoriasiques (d’une moitié du corps afin de comparer avec l’autre coté) et en plus consommée à raison d’une cuillerée à soupe matin et soir dans les salades.
Dans les autres maladies auto-immunes qui sont les trop fréquentes maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques et sclérose latérale amyotrophique…), il faut essayer le régime méditerranéen.
Les traitements conventionnels pour les maladies auto-immunes sont inefficaces, lourds, coûteux, et provoquent de nombreux effets secondaires. Par comparaison, le régime méditerranéen n’est pas risqué, il ne coûte presque rien, et vous pouvez commencer immédiatement.
Dans les pays méditerranéens, on associe naturellement l’huile d’olive à tous les repas. En combinant les antioxydants d’huile d’olive et ceux du vin (French Paradox) au quotidien, on obtient le « Mediterranean paradox » [22] – le paradoxe méditerranéen. Une alimentation malsaine en apparence (graisse et alcool) qui vous garde en bonne santé.
Le mariage vin à dose modérée et huile d’olive peut être reconnu comme patrimoine culturel de l’humanité au service de la santé.
Nous y ajouterons le pain fabriqué avec les semences de froment ancien, le meilleur pour la santé, qui fera l’objet du livre Le Pain et le chirurgien que je publie prochainement avec le boulanger de Cucugnan.
Toujours à votre service, pour votre santé,
Montpellier – France
Sources :
[1] Expression of the longevity proteins by both red and white wines and their cardioprotective components, resveratrol, tyrosol, hydroxytyrosol – Mukherjee S. et al – Free radical Biology and Medicine 2009, 46 : 573-578
[2] Use of hydroxytyrosol as anti-aging agent. Raederstorff D, Wang-schmidt Y, Wertz K (2010). Pub. No. : US 2010/0130621 A1.
[3] Oleuropein and derivatives from olives as Tau aggregation inhibitors. Daccache A, Lion C, Sibille N, Gerard M, Slomianny C, Lippens G, Cotelle P.Neurochemistry International. 2011, 58(6): 700-7.
[4] Les radicaux libres sont responsables de l’oxydation des LDL plasmatiques en oxLDL qui activent les réactions inflammatoires et les réactions chimiques favorisant les dépôts de plaques d’athérome sur les parois des artères.
[5] Effet identique à l’Aspirine.
[6] The effects of polyphenols in olive leaves on platelet function. Singh I, Mok M, Christensen AM, Turner AH, Hawley JA. Nutrition Metabolism and Cardiovascular Disease. 2008, 18(2):127-32.
[7] Douleurs et faiblesses musculaires, problèmes hépatiques avec augmentation des Gamma GT ou, moins connus, des cataractes. Plus récemment on signale officiellement l’augmentation du risque de diabète et de troubles cognitifs (confusion, perte de mémoire).
[8] Effects of feeding virgin olive oil or their polyphenols on lipid of rat liver. Benkhalti F, Prost J, Paz E, Perez-Jimenez F, El Modafar C, El Boustani E. Nutrition Research. 2002, 22: 1067–1075.
[9] Structure antioxidant activity relationship of flavonoids and phenolic acids. Rice-Evans CA, Miller NJ, Paganga G. Free Radical Biology and Medicine.1996, 20: 933–956.
[10] Comparison of the concentrations of phenolic compounds in olive oils and other plant oils: correlation with antimicrobial activity. Medina E, De Castro A, Romero C, Brenes M. Journal of Agricultural and Food Chemistry. 2006, 54, 4954–4961.
[11] Bactericidal activity of glutaraldehyde-like compounds from olive products. Medina E,Brenes M, Garcia A, et al. Journal of Food Protection. 2009, 72, 2611–2614.
[12] Potential of olive oil phenols as chemopreventive and therapeutic agents against cancer: A review of in vitro studies. CasaburiI, PuociF, Chimento A, Sirianni R, Ruggiero C, AvenaP, Pezzi, V. Mol. Nutr. Food Res. 2013, 57, 71−83.
[13] Hydroxytyrosol rich extract from olive leaves modulates cell cycle progression in MCF-7 human breast cancer cells. Bouallagui Z, Han J, Isoda H, Sayadi S. Food Chem. Toxicol.2011, 49, 179−184.
[14] Dietary fat, olive oil intake and breast cancer risk. Martin-Moreno JM, Willett WC, Gorgojo L et al. Int J Cancer.1994, 58:774–780.
[15] Inhibition of p38/CREB phosphorylation and COX-2 expression by olive oil polyphenols underlies their anti-proliferative effects. Corona G, Deiana M, Incani A et al. BiochemBiophysRes Commun. 2007, 362: 606–611.
[16] The antioxydant/anticancer potential of phenolic compounds isolated from olive oil. Owen R. et al. : European Journal of Cancer 2000, 36, 1235-1247
[17] Conformity to traditional Mediterranean diet and breast cancer risk in the Greek EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition) cohort – 2010 American Society for Nutrition – Antonia Trichopoulou, Christina Bamia, PagonaLagiou, and DimitriosTrichopoulos
[18] Hamden K, Allouche N, Damak M, Elfeki A. Hypoglycemic and antioxidant effects of phenolic extracts and purified hydroxytyrosol from olive mill waste in vitro and in rats. Chemico-Biological Interactions 180 (2009) 421–432.
[19] Mediterranean Diet and Incidence of and Mortality From Coronary Heart Disease and Stroke in Women – Teresa T. Fung, Kathryn M. Rexrode, Christos S. Mantzoros, JoAnn E. Manson, Walter C. Willett, Frank B. Hu – Circulation. 2009; 119: 1093-1100
27 Olive extract supplement decresases pain and improves daily activities in adults with osteoarthritis and decreases plasma homocysteine in those with rheumatoid arthritis – Catherine M. Bitler and al. Nutrition Research 27 (2007) 470–477
[20] Effet de l’extrait d’olivier, riche en polyphénols, OLIVIE RICHE / OLIVIE FORCE, sur l’inflammation et la douleur chez les patients souffrant d’arthrite rhumatoïde : une étude clinique randomisée en double aveugle contre placebo d’une durée de 8 semaines- Benlemlih M. Ghanam Jamal – Dhar El Mahraz, P.O. Box 1796, Fès, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah, Fès, Maroc. Laboratoire de Biotechnologie de la Faculté des Sciences
[21] Vous les trouverez en France et en Europe chez Medicatrix et au Maroc chez Atlas Olive Oil
[22] 28 « L’Olivier et le chirurgien » en préparation et parution 2015 – Pr H. Joyeux et Pr M. Benlemlih
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