Lactobacillus crispatus, les femmes vont adorer!!

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Lactobacillus crispatus, les femmes vont adorer!!

Prenez soin de votre flore vaginale et urinaire grâce au Lactobacillus crispatus

Il n’est plus à démontrer que le maintien d’une flore vaginale saine est un élément clé de la santé féminine. Une flore intime équilibrée est en effet, chez la femme en âge de reproduction, majoritairement composée de bonnes bactéries de type Lactobacilles, véritables défenseurs contre les infections urinaires et vaginales.
Or de nombreux facteurs sont susceptibles de déséquilibrer cette flore (contraception, prise d’antibiotiques, hygiène intime excessive, port de vêtements trop serrés, multiplication des rapports sexuels,…) et de nombreuses femmes souffrent de problèmes urinaires ou vaginaux, souvent répétitifs. (W. Mendling, Frauen-Arzt, Mai (50) 2009 Nr 5, Back to the roots – mit Laktobacillen und Probiotika)

En effet trois femmes sur quatre souffrent au moins une fois dans leur vie de mycose vaginale et la moitié d’entre elles en connaissent plusieurs épisodes.

Le plus souvent causée par le célèbre champignon Candida albicans, la mycose vaginale est une infection vaginale très fréquente, tout comme la vaginose d’origine bactérienne. Non seulement responsables d’altération de la santé physique et émotionnelle, ces infections peuvent également affecter les relations sexuelles et sont bien souvent difficiles à vivre. Les traitements antimycosiques administrés par voie vaginale ou par voie orale sont certes efficaces mais ils n’empêchent pas la survenue de récidives et sont responsables d’une déstabilisation de la flore vaginale. (RCR Martinez, 2009 letters in applied microbiology ISSN 0266 -825)

On sait depuis de nombreuses années que l’apport de certains probiotiques de la famille des Lactobacilles permet de restaurer une flore intime déséquilibrée mais également d’empêcher la fixation et le développement des bactéries pathogènes et du Candida albicans. Certains labos proposent un produit novateur à base de Lactobacillus Crispatus à découvrir en cliquant-ici.

Cependant un Lactobacille n’est pas l’autre et tous ne se montrent pas efficaces au niveau du vagin. Il est aujourd’hui reconnu que le champion dans ce domaine est le Lactobacillus crispatus.
Objet de nombreuses études scientifiques depuis plus de dix ans, le Lactobacillus crispatus démontre en effet combien il mérite ses galons :

  • C’est le soldat le plus fréquemment rencontré dans une flore vaginale saine chez les femmes d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord. (Antonio, M.A.D., S.E. Hawes, and S.L. Hillier. The identification of vaginal Lactobacillusspecies and the demographic and microbiologic characteristics of women colonized by these species. J.Infect. Dis. 180: 1950-1956) (Giorgi, A., S. Torriani, F.Dellagio, G.Bo, E. Stola, and L.Bernuzzi. Identification of vaginal Lactoba cilli from a asymptomatic women. Microbiologica 10: 377- 384) (Song, Y.N.Kato, Y.Matsumiya, C.Liu,H.Kato, and K.Watanabe..Identification of and hydrogen peroxide production by fecal and vaginal lactobacilli isolated from Japanesewomen and newborn infants. J.Clin.Microbiol.37: 3062-3064)
  • Il possède une arme redoutable qui est la production de peroxyde d’hydrogène (H₂O₂). Or il est aujourd’hui démontré que les Lactobacilles producteurs d’ H₂O₂ sont les plus performants au niveau vaginal et représentent la solution à choisir pour restaurer et maintenir une flore vaginale saine. (Czaja C.A.et al., 2007. Phase 1, trial of Lactobacillus Crispatus vaginal suppository for prevention of recurrent urinary tract infection in women. Infectious diseases in Obstetric and Gynaecology, Vol. 2007, article ID 35387) (J Clin Microbiol. 2003 May; 41(5): 1881-1887).
  • Il s’oppose au développement du Candida albicans et d’autres germes pathogènes. (Braz. J. Microbiol. vol.41 no.1  2010, Natalia F. Gil; Rafael C.R. Martinez; Bruna C. Gomes; Auro Nomizo; Elaine C. P. De Martinis*Faculdade de Ciências Farmacêuticas de Ribeirão Preto, Universidade de São Paulo, Ribeirão Preto, SP, Brasil)
  • Il se singularise par le fait de très bien se fixer à la paroi vaginale, condition sine qua non d’efficacité, et d’entraver la fixation des germes responsables d’infection. (L.Kwok, Adherence of Lactobacillus crispatus to vaginal epithelial cells from women with or without a history of recurrent urinary tract infection.The Journal of Urology, Volume 176, Issue 5, pages 2050-2054 AHFS 2006 Drug Information.ASHP Bethesda.)

A ce propos, Although Wood et ses collaborateurs ont démontré que les Lactobacilles présents dans le yaourt adhéraient nettement moins bien aux cellules de la muqueuse vaginale que le Lactobacillus crispatus.

  • Il a la particularité de persister plus longtemps dans le vagin que les autres souches de Lactobacilles. (DNA Fingerprinting of Lactobacillus crispatus Strain CTV-05 by Repetitive Element Sequence-Based PCR Analysis in a Pilot Study of Vaginal Colonization. J.Clin.Microbiol.2003 May; 41(5): 1881-1887.)
  • Il contribue à diminuer les risques d’affections uro-génitales à répétition. (Ann E. Stapleton – Department of Medicine, University of Washington, Melissa Au-Yeung, Thomas M. Hooton, David N. Fredricks, Pacita L. Roberts, Christopher A. Czaja,  Yuliya Yarova-Yarovaya, Tina Fiedler, Marsha Cox, Walter E. Stamm) (Randomized, Placebo-controlled Trial of a Lactobacillus crispatus Probiotic given Intravaginally for Prevention of Recurrent Urinary Tract Infection Published by Oxford University Press on behalf of the Infectious Diseases Society of America, Accepted February 22, 2011).

Quand avoir recours aux probiotiques Lactobacillus Crispatus, Lactobacillus acidophilus et Lactobacillus brevis?

  • En cas de symptômes évocateurs d’infection vaginale (douleurs, pertes blanches et ou odeurs désagréables, sensations de brulures, démangeaisons, …).
  • En cas de cystites à répétition.
  • Lorsque le frottis révèle une flore anormale, même en l’absence de symptômes.
  • Systématiquement en cas de prise d’antibiotiques pour éviter de déstabiliser la bonne flore.
  • Chez les femmes dont l’immunité est affaiblie par la prise de médicaments, tels que corticoïdes et immunosuppresseurs, ou suite à certaines maladies, notamment le diabète ou l’hyperthyroïdie.
  • Chez toute femme qui présente des facteurs de risques d’infections vaginales et urinaires.

En conclusion, à la lumière de ces nombreux travaux de recherche, l’utilisation de souches probiotiques Lactobacilles Crispatus apparait comme un moyen efficace de normaliser la flore vaginale, de prévenir l’apparition de désagréments urinaires ou génitaux et de diminuer le risque d’infections à répétition.

Quand il y a récurrence?

Quand les infections deviennent répétitives, il y a lieu de chercher les causes de cette récurrence. Elle signe aussi, dans beaucoup de cas, un microbiote intestinal en mauvais état, qu’il y a lieu de restituer et de réparer pour sortir du cercle infernal d’infections. Les habitants du microbiote intestinal sont principalement des Bifidobactéries et des Lactobacilles. Les probiotiques qui renferment ces bactéries, des bactéries représentatives et bénéfiques de l’écosystème intestinal, sont très efficaces et d’une très grande importance pour ré-équilibrer la flore intestinale. Aussi, notez qu’il est important de recommencer une cure de probiotiques vaginaux, 3 mois plus tard, ensuite, au moins une fois par an, voire davantage quand les épisodes d’infections sont fréquentes ou perdurent depuis des années.

Actions des probiotiques Lactobacillus Crispatus, Lactobacillus acidophilus et Lactobacillus  brevis

➥ Rétablit l’équilibre naturel de la flore uro-génitale.
➥ Défense contre les bactéries pathogènes :

  • Synthèse de peroxyde d’hydrogène.
  • Maintient l’acidité de la flore vaginale.
  • Bonne fixation à l’épithélium.
  • Longue durée de vie.
  • Compétition positive sur le milieu, les Lactobacilles empêche la fixation des bactéries pathogènes aux cellules des voies vaginales et urinaires.

L’acidophilus, sa capacité détonante d’acidifier

Il y a plus de 100 ans qu’il a été observé, et nommé « L’acidophilus». Très vite les chercheurs observent sa capacité à sécréter de l’acide lactique. Il contribue largement à maintenir l’écosystème vaginal en terrain acide. (1, 2, 3, 4)

  1. Delia A., Morgante G., Rago G., Musacchio M.C., Petraglia F, De Leo V. Effectiveness of oral administration of Lactobacillus paracasei subsp. paracasei F19 in association with vaginal suppositories of Lactobacillus acidofilus in the 59 Trouvailles Scientifiques pertinentes portant sur les souches … treatment of vaginosis and in the prevention of recurrent vaginitis. Minerva Ginecol. 2006 Jun ; 58(3) : 227-31.
  2. Drago L., De Vecchi E., Nicola L., Zucchetti E., Gismondo M.R., Vicariotto F., Activity of a Lactobacillus acidophilus-based douche for the treatment of bacterial vaginosis. J. Altern Complement Med. 2007 May ; 13(4) : 435-8.
  3. Falagas ME., Betsi GI., Athanasiou S., Probiotics for the treatment of women with bacterial vaginosis.Clin. Microbiol. Infect. 2007 Jul ; 13(7) : 657-64.
  4. Tasdemir M., Tasdemir I., Tasdemir S., Tavukcuoglu S., Alternative treatment for bacterial vaginosis in pregnant patients ; restoration of vaginal acidity and flora. Arch. AIDS Res. 1996 ; 10(4) : 239-41.

Le brevis, courtisan fidèle

Il se distingue des deux souches précitées par le fait qu’il ne synthétise pas de H2O2. Des études montrent sa grande affinité pour les cellules vaginales. Il s’oppose à la fixation des intrus pathogènes. Au même titre que les deux précédents, il maintient le microbiote acide. Il a aussi été montré qu’il contribue à la diminution des odeurs désagréables. (1)

  1. Mastromarino P., Brigidi P., Macchia S., Maggi L., Pirovano F., Trinchieri V., Conte U., Matteuzzi D., Characterization and selection of vaginal Lactobacillus strains for the preparation of vaginal tablets. J. Appl. Microbiol. 2002 ; 93(5) : 884-93.

Comment prendre des probiotiques composés de Lactobacilles

  • En traitement, lors d’une infection ou lorsque la flore est anormale : commencer par 2 gélules par jour pendant 7 jours et poursuivre avec 1 gélule par jour pendant 14 jours.
  • En prévention, en cas de facteurs de risque ou de vaginite et/ou cystites à répétition : cure de 20 jours tous les 2 à 3 mois, à raison de 1 gélule par jour.

Si association avec un antibiotique ou un antimycotique local ou général, il est important de débuter la prise des Lactobacilles dès le premier jour du traitement anti-infectieux et de la poursuivre pendant 3 semaines.

Pour qui ?

Les femmes de tout âge, fertiles, enceintes, ménopausées, adolescentes ou petites filles.

Dans quels cas ?

Lactobacillus Crispatus est un probiotique spécifique permettant de maintenir la flore féminine.

À quel moment de la journée

En 1 prise, au repas le matin ou le midi, avec une alimentation solide et pas trop chaude.
En cas d’association avec un antibiotique, les Lactobacilles doivent être pris 2 heures avant ou 2 heures après la prise de ceux-ci.

Comment les conserver ?

Au sec et à température ambiante. Il faut éviter les températures trop élevées car les probiotiques tolèrent mal la chaleur excessive. Il est également déconseillé de les placer dans un frigidaire car l’humidité qui y règne est préjudiciable à leur survie.

Microbiote normal représentatif des systèmes urinaire et reproducteur

Le tractus urinaire

En raison de son ouverture vers l’extérieur, et son environnement, le système urinaire est voué aux infections. Les membranes de la muqueuse sont moites et plus promptes au développement bactérien, que la peau, par exemple. Le tractus, ce sont deux reins, deux uretères, une vessie unique et un seul urètre. Certains déchets passent du sang dans les uretères vésicaux grâce aux reins. Les uretères qui transportent l’urine jusqu’à la vessie sont munis de valves empêchant le reflux de l’urine vers les reins, et ainsi, protègent de l’infection la partie basse du tractus urinaire. De plus, l’acidité de l’urine normale montre certaines propriétés antimicrobiennes. Enfin, la puissance de la miction chasse, aussi, les intrus infectieux.

Son microbiote normal

L’urine normale est stérile. Toutefois, lors de son passage dans l’urètre, elle peut être contaminée. Le tractus urinaire, dans son état normal, renferme quelques microbes. Toutefois, parfois, il peut être soumis à des infections plus préoccupantes par des bactéries ou d’autres pathogènes comme les schistosomes ou les protozoaires ou les champignons. De plus, les maladies sexuellement transmissibles (MST) affectent aussi le système urinaire au même titre que le système reproducteur.

Le tractus urinaire et ses inflammations via des sources d’entrées externes

  • l’Urétrite, inflammation de l’urètre,
  • la Cystite, inflammation de la vessie,
  • l’Uretère-ite, inflammation de l’uretère,
  • la pyélonéphrite, inflammation du rein.

Le danger le plus significatif de ces infections du tractus urinaire bas, c’est que l’infection peut via les uretères rejoindre les reins, causant une pyélonéphrite (Leptospirosis identifié dans les urines). Aux US, environ 900.000 cas d’infections d’origine nosocomiale dont 90 % associées au cathéter urinaire en raison de la proximité de l’anus.

  • Escherichia coli détient le record des infections.
  • Pseudomonas est ennuyeux car il résiste aux antibiotiques.

Le Probiotique peut aider à prévenir les infections récurrentes du tractus urinaire.

Dans  une étude clinique de Phase 2 randomisée contre placebo sur le Lactobacillus crispatus CTV-05 (Lactin-V, Osel Inc) réduit, de plus la moitié, le taux d’infection récurrente du tractus urinaire parmi les femmes enclines à contracter ces infections, renforce favorablement les résultats précédents observés en terme de prophylaxie antimicrobienne. Des essais cliniques de plus grandes envergures sont nécessaires afin de montrer que l’utilisation de Lactobacilles vaginal peut remplacer les traitements préventifs antimicrobiens à long cours chez les femmes enclines à ces infections. Les infections récurrentes du tractus urinaire sont fréquentes parmi les femmes. De plus, elles montrent souvent des altérations du microbiote vaginal, incluant une déplétion en lactobacille. Unecomplémentation en Lactobacillus crispatus est bénéfique pour ces femmes.

Clinical Infectious Diseases, Probiotic May Help Prevent Recurrent Urinary Tract Infection, 2011.

Conférence sur les agents anti-microbiens lors de la conférence sur les maladies infectieuses

Une étude de Phase I sur le Lactobacillus crispatus CTV-05 montre que le probiotique peut être administré tel qu’un suppositoire vaginal, avec un minimum d’effet indésirable, à des femmes en bonne santé montrant une histoire d’infections récurrentes du tractus urinaire.

Une étude de Phase 2 enrôlant 100 femmes pré-ménopausées (âge moyen 21 ans) montrant une histoire d’infections récurrentes du tractus urinaire ont reçu des antimicrobiens afin de juguler leur infection sévère. Par la suite, elles ont reçu, de manière randomisée, le Lactobacillus crispatus CTV-05 ou le placebo, sous forme de suppositoire vaginal encapsulé dans de la gélatine, administré chaque jour pendant 5 jours, suivis d’une fois par semaine pendant 10 semaines.

Il ressort de tout cela que le Lactobacillus crispatus réduit le risque d’infections récurrentes du tractus urinaire, approximativement aussi efficacement qu’une prophylaxie antimicrobienne, induisant un taux élevé de colonisation pour la plupart des femmes, de plus, il a été bien toléré. Selon les médecins, la culture confirmant l’infection a été observée pour 7 des 48 femmes (15%) du groupe sous Lactobacillus crispatus CTV-05 contre 13 des 48 femmes (27%) sous placebo (risqué relative [RR], .5; 95% intervalle de confiance [IC], .2 – 1.2). Un haut niveau de colonisation vaginale par le L crispatus , pendant le suivi, était associé à une réduction significative des infections récurrentes du tractus urinaire parmi les femmes recevant le Lactobacillus crispatus CTV-05 (RR pour Lactin-V, .07; RR pour placebo, 1.1; P < .01). Le profil de santé du probiotique renforce les observations collectées lors de l’étude de Phase I. Les effets indésirables ont été notés pour 56% des femmes sous Lactobacillus crispatus CTV-05 contre 50% sous placebo. L’effet indésirable le plus souvent relaté est l’écoulement vaginal ou la démangeaison ou l’un inconfort abdominal modéré. Une nouvelle direction portent les auteurs de cette étude à mettre en place un essai (PCR quantitative) afin d’évaluer le microbiote vaginal suite à une infection du tractus urinaire. Ceci permettra de définir les changements du microbiote vaginal avec ou sans usage du probiotique, Lactobacillus crispatus CTV-05.

Via la PCR quantitative pour déterminer la colonisation de L. crispatus parmi les femmes enrôlées dans les deux groupes, le recouvrement naturel du microbiote vaginal est évalué après une infection du tractus urinaire, comme potentiellement survenu au sein du groupe placebo, tels que les effets spécifiques attribuables au probiotique. Observations étonnantes, selon les auteurs, les femmes sous placebo montrent des concentrations vaginales en L crispatus pendant le suivi de l’étude, une fois encore, ceci ne les a pas protégé d’une infection du tractus urinaire (RR, 1.1; 95% IC, .4 – 3.1). A contrario, les femmes sous Lactobacillus crispatus CTV-05 et montrant une haute colonisation étaient protégées de cette infection (RR, .07; 95% IC, .02 – .3; P < .01). Le L. crispatus, après le traitement d’infections récurrentes du tractus urinaire, confère l’avantage significatif de repopulation du microbiote vaginal à partir du L. crispatus endogène. Des études en cours visent la compréhension de ces mécanismes de protection in vivo et optimise ce régime prophylactique. Cette étude a été sponsorisée par le “ National Institute of Diabetes and Digestive and Kidney Diseases and the Office of Research in Women’s Health at the National Institutes of Health”.

Les résultats ont été présentés au “ 48th Annual Interscience Conference on Antimicrobial Agents and Chemotherapy/46th Annual Meeting of the Infectious Diseases Society of America, Washington, DC, et au “ 47th Annual Meeting of the Infectious Diseases Society of America, Philadelphia, Pennsylvania.

Les valeureux Gardiens de la défense du vagin

Heureusement qu’il existe des bactéries qui pensent pour nous ! Elles montrent une efficacité redoutable pour maintenir le microbiote vaginal et son harmonie en parfait équilibre.

Témoignages

Dame, âgée de 77 ans, souffrant, de façon récurrente, de cystites et de vaginites.

Littérature

Confort féminin de 7 à 77 ans

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