Chère lectrice, cher lecteur,
Les labos pharmaceutiques font très fort, plus fort encore que le Dr Knock.
Ils ont déjà encaissé des fortunes (des dizaines de milliards) pour des vaccins… qui n’existent pas, et dont personne ne sait s’ils existeront un jour !
Le coronavirus ne fait pas que des malheureux
Hé oui, la folie autour du coronavirus ne fait pas que des malheureux.
Les opinions publiques, en panique, se tournent vers les politiciens, exigeant des “solutions”.Les politiciens n’en ont pas, pas plus que vous et moi.
Mais ils peuvent faire une chose – facile !
Taxer les populations, et donner notre argent à l’industrie pharmaceutique, en échange de la promesse de chercher un vaccin.
“Des chercheurs, on en trouve ; des trouveurs, on en cherche !”
Promesse de chercher, et pas de trouver, bien sûr.
Car, comme disait le Général de Gaulle : “Des chercheurs, on en trouve ; des trouveurs, on en cherche !”
Mais donner des milliards aux labos semble ne faire, pour l’instant, que des heureux :
les citoyens, qui ont l’impression qu’on prend soin d’eux
les politiciens, qui ont l’impression d’être utiles
et les labos pharmaceutiques, qui prennent les sous !
Plus les politiciens donnent d’argent, plus ils paraissent sérieux et déterminés dans leur lutte contre le coronavirus. Plus ils peuvent compter sur leur ré-élection.
Et cela donne ceci :
Ils ont déjà acheté au moins 5,7 milliards de doses d’un vaccin qui n’existe pas encore
Le gouvernement de Donald Trump a accordé près d’un demi-milliard de dollars à la firme Johnson & Johnson, dès le 30 mars, pour développer un vaccin ;
Puis il a répété l’opération, en augmentant les volumes, au cours des semaines qui ont suivi. A ce jour, Washington a déboursé au moins 9,4 milliards de dollars auprès de sept laboratoires développeurs de vaccins, sans aucun résultat tangible jusqu’à présent, pour acheter 700 millions de doses. Ces sociétés sont : Johnson & Johnson, Moderna, Oxford/AztraZeneca, Novavax, Pfizer/BioNTech, Sanofi/GSK, Merck Sharp and Dohme.
La Commissions européenne, elle, est en “négociations avancées” avec deux développeurs pour fournir jusqu’à 700 millions de doses de vaccins à eux deux. Il s’agit de Oxford/AztraZeneca et Sanofi/GSK, des laboratoires qui touchent donc également des fonds américains.
Le Royaume-Uni, désormais hors de l’Union européenne, négocie séparément et a déjà commandé 250 millions de doses.
Le Japon, s’est assuré 490 millions de doses dont 250 millions auprès de la société américaine Novavax.
Le Brésil a commandé 100 millions de doses à AstraZeneca, et a conclu un partenariat avec le Chinois Sinovac pour fabriquer jusqu’à 120 millions de doses de son “Coronavac”, actuellement testé sur des Brésiliens.
La Russie a annoncé que 20 pays, non identifiés, avaient pré-commandé un milliard de doses de son vaccin “Spoutnik V” (avec un v comme vaccin).
La Fondation Bill & Melinda Gates, le Wellcome Trust (britannique), ainsi que la Norvège et l’Inde se sont unis pour investir 890 millions pour acheter 300 millions de doses de son futur vaccin à AstraZeneca.
En tout, on parle d’au moins 5,7 milliards de doses de vaccins déjà pré-commandées, et ce malgré le fait qu’il n’y ait aucun vaccin, même expérimental, qui n’ait fait ses preuves contre le coronavirus.
Ces informations, non diffusées en France (à ma connaissance), sont officiellement diffusées par la presse suisse [1], pays siège de l’OMS et de nombreuses firmes pharmaceutiques.
Pourquoi on pourrait ne jamais avoir de vaccin contre le Covid-19
Il se pourrait que le Covid-19 fasse partie, malheureusement, des maladies contre lesquelles aucun vaccin n’est possible.
En effet, il existe d’autres maladies provoquées par des coronavirus (le SARS, le MERS) et aucun vaccin n’a jamais été trouvé pour elles.
Une des particularités des coronavirus est d’infecter d’abord le nez et la gorge. Si les virus ne sont pas stoppés à ce moment-là, ils peuvent passer dans les poumons, puis dans le sang.
Pour se protéger contre toutes les formes de COVID-19, et donc aussi contre le risque de transmission, il faudrait disposer de vaccins capables d’induire et de maintenir des réponses immunitaires assez fortes et permanentes au niveau des muqueuses du nez et de la gorge.
Or, cette immunité totale (dite «stérilisante») n’a encore jamais été obtenue par un vaccin. [2]
Le principe du vaccin, vous le connaissez, c’est d’immuniser une personne en la mettant en contact avec une forme atténuée de la maladie. Cela permet à la personne de développer des anticorps qui la protégeront contre toute infection future.
Toutefois, il semble que, dans le cas du Covid-19, les malades ne développent que peu d’immunité. Quelques mois après avoir été malades, ils peuvent à nouveau tomber malade, s’ils rencontrent le virus.
Cela signifie qu’il faudrait se vacciner à nouveau, ce qui expliquerait l’intérêt immense de l’industrie pharmaceutique pour un vaccin qui serait inoculé chaque année, voire plusieurs fois par an, à l’ensemble de la population mondiale (puisque c’est ce dont il s’agit).
Il reste aussi tous les problèmes liés aux vaccins, comme celui de la grippe par exemple, où la faible durée d’efficacité, les constantes mutations du virus, le coût et les effets indésirables, rendent l’utilité même de la vaccination douteuse.
Bien entendu, il est trop tôt pour le savoir et la découverte d’un vaccin, même peu efficace, serait déjà une bonne nouvelle, pour les personnes âgées et malades. Nous continuons à suivre ce dossier de près.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
SNI Éditions, CS 70074, 59963 Croix Cedex, FRANCE