J’ai fait partie de ceux qui, un jour applaudis par leurs pairs, ont été rejetés le lendemain au rang de paria (plus exactement de «zozo» pour reprendre les termes d’un collègue qui se reconnaitra) quand le doute a commencé à m’envahir en mars 2020 sur la pandémie, les mesures sanitaires puis ces « vaccins ».
Le doute ne fait-il pourtant pas partie de toute démarche scientifique ? N’est-il pas l’essence même de tout chercheur ?
Toujours plus nombreux, nous avons été des milliers à alerter sur le danger de ces injections que ce soit en Europe, aux États-Unis ou dans le monde entier, dans le silence ahurissant des décideurs politiques, et ce, malgré les insultes, injures ou d’autres joyeusetés répétées par des médias ou de certains scientifiques
de plateaux TV dont le nombre de conflits d’intérêt, dépasse largement celui de leurs publications scientifiques.
Il aura fallu attendre plusieurs mois, des milliers de vie sacrifiées, parfois de vies d’enfant brisées, pour que des agences sanitaires gouvernementales admettent, toujours avec parcimonie, la réalité de certains effets indésirables graves dus à ces injections comme ce fut le cas pour certaines atteintes cardiaques
(péricardites, myocardites).