Comme nous l’avons vu précédemment, le Lactium® est un composant inspiré de l’état serein de bébé après la tétée.
Sa similarité de structure aux benzodiazépines a permis de confirmer qu’il agit de la même manière que ceux-ci, en fixant le récepteur GABA et en apportant un état serein lorsqu’il est consommé.
Nous avons vu précédemment que cet effet ‘anti-stress’ du Lactium® a été confirmé chez la souris, mais qu’en est-il chez l’homme ?
Une étude clinique a été menée sur 42 hommes stressés.
Ceux-ci ont pris soit un placebo, soit du Lactium® (2x 400 mg le premier jour puis 400 mg le jour suivant, soit 1200 mg de Lactium® au total).
La tension systolique a été mesurée dans tous les cas avant et après le traitement.
Les patients qui ont pris le Lactium® ont bien une diminution de leur tension artérielle. La tension artérielle est un paramètre tout à fait fiable de l’état de stress d’une personne.
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Donc avec cette 1ère étude, nous pouvons conclure que si vous utilisez cette dose « attaque » de Lactium® (1200 mg sur 2 jours), cela permettra de diminuer votre anxiété, votre stress. |
Ces mêmes mesures ont été faites chez des patients stressés, mais qui prenaient cette fois des doses plus petites, de 150 mg/jour, mais pendant plus longtemps (30 jours).
De la même manière, la tension artérielle est diminuée déjà après 11 jours (-16%). Après 30 jours, la tension artérielle était diminuée de 20%. Ce qui montre bien l’action anti-stress du Lactium®.
Lactium® diminue le cortisol
Cet effet anti-stress du Lactium® a été observé, mais cette fois-ci en mesurant le taux de cortisol (hormone du stress chronique) dans la salive. Là aussi, les patients qui ont pris 1200 mg de Lactium® sur les 2 jours ont moins de cortisol dans leur salive et donc sont certainement moins stressés grâce au traitement.
De manière intéressante, ces mêmes résultats ont été observés pour des doses inférieures de 300 mg de Lactium® par jour, pendant 4 semaines.
Toutes ces études cliniques prouvent l’efficacité de cette molécule brevetée, Lactium®, pour diminuer le stress, l’anxiété, la tension artérielle.
Étant donné qu’elle peut aussi diminuer le taux de cortisol, elle pourrait être intéressante dans les cas de burn-in* (cortisol élevé) qui est l’état qui précède le burn-out (surrénales épuisées, diminution du cortisol et épuisement important).
*Le burn-in est la phase d’avertissement avant le burn-out, c’est la phase de stress chronique. Le problème, les personnes qui en souffrent ne s’en rendent pas compte ou plutôt, elles ne l’admettent pas !
Et au lieu d’écouter leur fatigue et les alertes de leur organisme, elles vont puiser dans leur réserve et font plus que nécessaire au travail… Elles produisent de plus en plus de cortisol pour tenir le coup, jusqu’à l’épuisement, c’est le burn-out.
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Dans le prochain et dernier article concernant la Lactium®, nous évoquerons son rôle dans l’amélioration de la qualité du sommeil. |
