Un documentaire sur la manière dont les médias nous racontent le Covid
Réalisateur documentaire depuis 1989, Bernard Crutzen est dans les starting blocks : « Jamais auparavant je n’avais ressenti une telle urgence ! Je suis en colère face à la véritable propagande qui accompagne cette épidémie et aux effets désastreux qu’elle a sur les mentalités. » Pour produire ce film, pas le temps d’attendre des subventions. Forts du succès de Malaria Business (1,4 millions de vues sur la RTBF + France O + France 24 ) nous espérons une mobilisation forte de toutes celles et ceux qui doutent. Rejoignez-nous !
Les médias sont-ils responsables de cette psychose collective, engendrant une réponse probablement disproportionnée ? Nous pensons que c’est en amont que ça se joue : l’interprétation des statistiques et leur analyse sont biaisées, toujours dans le sens de la peur et du pire. Les langues commencent à se délier, les experts démissionnent les uns après les autres, mais il reste beaucoup à comprendre.Vous êtes, comme nous, les témoins d’une véritable guerre de l’information entre les « grands médias » et les médias alternatifs (blogueurs, youtubeurs), chaque camp produisant des fake news. Nous sommes particulièrement intéressés par le qualificatif de complotiste qui discrédite toute parole, même scientifique, n’émanant pas des autorités.UPDATE 31/10/2020 : Nous tentons de ne pas réagir à chaud à l’actualité, même si ça nous démange : nous observons à nouveau une narration médiatique ultra-alarmiste. Il n’est pas question de nier la saturation des hôpitaux, mais de comprendre pourquoi les médias continuent de répandre une peur aux effets délétères et probablement contre-productifs.
UPDATE 06/11/2020: Nous avons engagé deux enquêteurs supplémentaires ! Il y a tellement d’informations à traiter que nous n’avions pas le choix. De plus nous souhaitons faire travailler un.e statisticien.ne et voulons avoir assez de budget pour financer tous les travailleurs de post-production qui participeront à la mise en forme du film.
En questionnant le rôle des médias, nous prenons le risque d’indisposer les chaînes qui ont co-produit et diffusé nos films précédents. N’est-ce pas mordre la main qui nous nourrit ? Peut-être, mais un documentaire doit pouvoir prendre du recul sur l’actualité. L’indépendance est dans notre ADN, mais elle a son prix. Ce qui explique pourquoi nous finançons le projet grâce au crowdfunding.