Source : néosanté – mercredi 31 mars 2021
Comment en est-on arrivé là ? Je présume que vous vous posez également cette question. Comment est-ce possible que la quasi-totalité de la planète ait basculé dans une paranoïa virophobique délirante suite à une petite épidémie de pneumonies survenue dans la ville archi-polluée de Wuhan ? Comment est-ce possible qu’une politique sanitaire absurde impliquant le confinement pour tous et le port généralisé du masque ait pu être adoptée par la plupart des gouvernements ? Comment est-ce possible que ces mêmes dirigeants aient délibérément décidé de massacrer l’économie réelle, d’en détruire des pans entiers et de provoquer une effroyable crise sociale plongeant des millions d’êtres humains dans la précarité ou la misère ? Comment est-ce possible que les libertés fondamentales, les droits élémentaires et les règles démocratiques basiques aient pu être foulées au pied dans les pays qui s’en revendiquent ? Comment est-ce possible que l’Occident se soit transformé en quelques mois en mélange d’Union Soviétique et de Chine communiste ? Comment est-ce possible que les médias de masse aient sombré dans la vénération du pouvoir et se soient transformés en outils de propagande covidiste? Et comment est-ce possible que les foules se soient laissé faire sans réagir ? Bref, comment une véritable dictature mondiale a-t-elle pu s’installer aussi facilement en à peine un an ? Avec ou sans grand complot ourdi dans l’ombre, avec ou sans machination machiavélique soigneusement préparée, cela fait des mois que je ne vois qu’une explication à ce phénomène sidérant : la manipulation des populations au moyen de l’hypnose. Leur mise sous emprise selon les techniques de conditionnement psychologique permettant d’induire un état de conscience modifié. Qui d’autre que des experts en contrôle mental auraient pu ainsi obtenir le consentement des peuples à leur propre asservissement ? Et quel autre canal que la télévision aurait-il pu servir à transmettre les suggestions hypnotiques ? Si vous pensez que je déraille, lisez l’article que vient d’écrire le psychiatre Frédéric Badel. Ce texte expose précisément que les événements hallucinants auxquels nous assistons relèvent d’une stratégie de manipulation à grande échelle et que c’est probablement l’omniprésence et la puissance de la télé qui permettent la réussite de la manœuvre. L’incroyable Messmer Cela fait un bout de temps que je suis fasciné par l’hypnose. Non pas celle pratiquée en hôpital pour mieux gérer la douleur ou celle employée par les psychothérapeutes afin de favoriser des changements de comportement chez le patient. Je veux parler de l’hypnose de spectacle, celle des « magiciens » qui parviennent à endormir les hypnotisés, du moins à les plonger dans un état second et à leur faire faire ou croire n’importe quoi. Je suis tellement intrigué par ce genre d’exploit que je rêvais d’en faire l’expérience avec l’incroyable Messmer. Si vous ne connaissez pas cet artiste canadien, allez visionner sur internet les nombreuses vidéos de ses représentations en salle ou de ses prestations lors d’émissions télévisées. Je vous conseille par exemple cette amusante séquence où il endort le Dr Michel Cymes d’un claquement de doigt et lui fait prendre des aliments acides pour de délicieux mets sucrés. C’est assez époustouflant mais j’ai déjà vu plus prodigieux : à la télé belge, Messmer a hypnotisé une dizaine d’animateurs et de journalistes en leur suggérant qu’ils arrivaient sur Mars, rencontraient un petit homme vert et dialoguaient en langue martienne avec lui. Revenue sur terre, une des participantes au numéro a raconté qu’elle ne comprenait pas pourquoi ses voisins parlaient un autre idiome que le martien : en quelques secondes, chacun des sujets avait en effet inventé son propre sabir en usage sur la planète rouge, avec sa grammaire et son vocabulaire ! Y-a-t-il démonstration plus convaincante des pouvoirs inouïs du cerveau, de sa créativité infinie et …de sa faculté à délirer sur commande ? Il y a deux ans, je suis allé voir un spectacle de Messmer en espérant bien monter sur scène. Malheureusement, l’artiste sélectionne ses « cobayes » en soumettant tous les spectateurs à des tests de sensibilité à l’hypnose : ils leur suggère notamment qu’ils ne pourront plus décoller leurs mains jointes dès qu’il le dira et il observe les réactions. Chez moi, ça n’a pas marché. Mais ça a marché chez les trois personnes avec qui j’étais venu et ça a marché chez les trois-quarts de la salle ! J’ai passé une soirée fantastique, avec des numéros plus drôles et plus ahurissants les uns que les autres. Et sans trucage, j’en suis sûr et certain car j’ai parlé à des hypnotisés au-dessus de tout soupçon. Ce soir-là, il y avait un « running gag » désopilant : un gars à qui Messmer faisait répéter sans cesse qu’il était né en 1958 mais qu’il avait 20 ans. Le sexagénaire était tout bonnement incapable de réaliser l’incongruité de ses propos ! Quant aux dizaines d’autres membres du public appelés sur scène, ils nous ont régalés avec leurs pitreries incohérentes et leurs convictions aberrantes déclenchées à volonté par l’hypnotiseur. Quel festival d’obéissance à autrui, quel éloquente victoire de l’illusion sur la réalité ! Trois lueurs d’espoir Plus fasciné que jamais par le sortilège, j’ai visionné par la suite d’autres vidéos où Messmer lève quelque peu le voile sur son art de la manipulation hypnotique. Secret professionnel oblige, il n’en révèle évidemment pas les trucs et ficelles ; Mais il confie des choses très intéressantes et très encourageantes si on les replace dans le contexte actuel. Primo, il dit qu’une minorité de gens sont totalement réfractaires à l’hypnose. Entre 5 et 15% des hommes et des femmes sont rétifs à cette altération de la conscience et ne se laissent pas « endormir » ni subjuguer par la voix et le regard. Autrement dit, il y aura toujours des objecteurs et des rebelles pour empêcher de manipuler en rond. Secundo, si elles forment une grande majorité, les personnes hypnotisables n’abandonnent pas pour autant leur libre-arbitre. On ne peut pas leur faire faire ou leur faire penser des choses qui iraient à l’encontre de leur conscience ou de leur morale personnelle. Par exemple, une personne pudique n’acceptera pas de se déshabiller. Ou un fervent musulman n’ira pas jusqu’à blasphémer le prophète. Et à moins d’être sociopathe, aucun sujet n’acceptera de faire du mal à son prochain puisque cela entre en contradiction avec l’éthique commune au genre humain. Dans la fameuse expérience de Milgram, il ne s’agit pas d’hypnose mais de conditionnement à la soumission dans un cadre qui n’est pas celui de la vie courante. Dans le réel, les hypnotisés peuvent nuire gravement à un innocent mais uniquement s’ils sont persuadés que c’est pour son bien. Sapez cette croyance et la maltraitance s’arrête. Troisième et dernière raison de rester optimiste : l’état d’hypnose doit être entretenu pour ne pas se dissoudre progressivement. Si l’envoûteur ne prononce pas régulièrement ses formules d’envoûtement et s’il ne capte pas sans cesse l’attention de l’envoûté, l’enchantement peut disparaître … comme par enchantement. Sur scène, on voit bien que Messmer doit se multiplier pour maintenir ses « acteurs » sous emprise. Certains se réveillent spontanément et les autres ne demeurent « endormis » que grâce aux suggestions répétées et à l’absence d’élément perturbateur. Une tierce personne peut aisément rompre le charme en s’interposant entre l’hypnotiseur et les hypnotisés. Pour que son spectacle soit réussi, Messmer possède lui-même une équipe d’assistants capables de le seconder. La lutte continue Vous me voyez venir ? Je pense effectivement qu’il ne faut pas désespérer de la situation. S’il est vain d’espérer que les 85 à 95% de la population hypnotisables cessent subitement d’être influencés par le récit covidiste, nous pouvons en revanche garder l’espoir de parasiter ce « story telling » par nos efforts de contre-propagande et nos incitations à la désobéissance. Et d’ailleurs, n’est-ce pas notre résistance à la folie ambiante qui commence à porter ses fruits ? En Belgique et ailleurs, des sondages indiquent que l’adhésion aux mesures sanitaires commence sérieusement à s’effriter : 20% des citoyens en ont complètement marre et beaucoup d’entre eux ne les respectent plus. La vaccination ? Quoi qu’en disent les autorités, ce ne sont pas seulement les problèmes d’organisation, le manque de doses ou les couacs informatiques qui ralentissent la campagne. Il y a une grande proportion de gens qui ne veulent pas de cette immunisation forcée et qui ne se feront pas injecter les produits génétiquement modifiés ou modifiants. Je suis peut-être naïf, mais j’ai l’impression que la ré-information commence à payer. Et je suis assez heureux de faire ma part de colibri, d’apporter ma petite goutte à l’extinction des mensonges en partageant ce que j’ai trouvé durant la semaine écoulée. Aujourd’hui, je vous communique quatre liens hautement intéressants. Le premier mène à une nouvelle analyse sur la surmortalité française. Elle est l’œuvre, entre autres, de l’épidémiologiste Laurent Toubiana et du statisticien Pierre Chaillot (le Décodeur de l’Éco, c’est lui !). Cette étude démontre une nouvelle fois qu’en tenant compte du vieillissement de la population, l’épidémie n’a rien d’une grande faucheuse. En 2020, il n’y a eu que 2,6% de décès excédentaires en France, très loin de l’hécatombe annoncée. Le deuxième lien conduit à un nouveau rapport du chercheur canadien Denis G. Rancourt. Dans un premier travail, celui-ci avait bien montré que l’utilité des masques faciaux n’avait guère d’assise scientifique. Cette fois, il aligne les éléments de preuves sur leur nocivité et les graves dommages qu’ils peuvent causer, tant sur le plan physique que psychologique. Désolé à nouveau pour ceux qui ne lisent pas l’anglais, mais le troisième lien vous fait découvrir une étude américaine récemment publiée dans la prestigieuse revue PNAS. Réalisée à l’Université de Chicago, cette recherche démontre à son tour que les politiques de confinement n’ont pas eu d’effet perceptible durant la première vague, ni en termes de contaminations ni en termes de victimes. Ceux qui s’obstinent dans cette voie ne pourront vraiment plus dire qu’ils ne savaient pas. Last but not least, le quatrième lien aboutit à un article anonyme mais néanmoins solidement argumenté et référencé. Ce document est percutant car il prouve, chiffres à l’appui, que le triste bilan de la France doit énormément au renoncement des soins : en plein pic de l’année dernière, les prescriptions d’antibiotiques, d’anticoagulants et d’anti-inflammatoires stéroïdiens ont drastiquement chuté. La médecine hospitalière française n’a donc pas essayé ce qui marchait dans le traitement symptomatique des cas sévères ! À l’inverse, les mêmes données officielles sur les médicaments indiquent que le Valium et le Rivotril injectables ont été administrés à tour de bras dans les hôpitaux hexagonaux. Conclusion implacable de l’auteur : l’épidémie de grippe covid n’est pas un drame sanitaire mais bien un crime de masse ! On se réveille, les hypnotisés ? On prend conscience que cette gigantesque mascarade n’est rien d’autre qu’une sinistre farce dont vous avez été les dindons ? Sortez de l’emprise, plus rien ne vous l’ interdit.Yves Rasir |