Source : Xavier Bazin – Santé Corps Esprit – 10 mars 2021
Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Cher(e) ami(e) de la Santé,Si vous pensez encore qu’il n’y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé : Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ; Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ; Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ; Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants[1].Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament.Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament.« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ? Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly. Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.Mais ici, on en a appris de belles !Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.Or, tenez-vous bien[3] : Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ; Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Elysée ; Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.Comme cela a été résumé sur twitter : « Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l’épouse d’un député LREM (3), la mère de l’adjoint au chef de cabinet de l’Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4]Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France !!Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.C’est honteux.Mais ce qui est beaucoup plus grave, c’est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !Croyez-le ou non, mais l’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU).Elle ne peut donc toujours pas être prescrite largement par les médecins contre la Covid-19.Comme je vous le dis depuis des mois, c’est pourtant un remède à l’efficacité extraordinaire contre la Covid-19.Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l’infection, et même à l’hôpital. Des grands médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur : L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain[5] ; Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine[6] ; Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %[7] ; Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament[8]. En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine[9].Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats : L’État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ; Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ; Tout récemment, dans l’Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.Il y a quelques semaines, à l’Assemblée nationale, le ministre O.r Véran s’est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l’ivermectine… et O.r Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump !Il a fallu que des associations traînent l’Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu’elle daigne accepter d’examiner le dossier de l’ivermectine[10] !Et le pire, c’est que je pense déjà connaître la réponse de l’Agence, prévue pour fin mars : malgré l’avalanche de preuves scientifiques en faveur de l’ivermectine, il est à craindre que l’Agence du Médicament lui oppose un refus – comme elle a opposé un refus injustifié pour l’hydroxychloroquine.Car les mêmes manipulations sont à l’œuvre : corruption au plus haut niveau et manipulation de la science.Lisez-bien ce qui suit : ce qui s’est passé sur l’hydroxychloroquine est en train de se reproduire, sous nos yeux !!!Je suis sincèrement sidéré, en plus d’être révolté, car l’ivermectine était une cible beaucoup plus difficile à balayer que l’hydroxychloroquine.Je vais vous expliquer pourquoi.Il était pourtant beaucoup plus difficile de nier l’intérêt de l’ivermectine !Mais commençons par les points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine : Les deux sont des vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde ; Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées – dans certains pays, ils sont même en vente libre, sans ordonnance ; Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, parce que ce sont des médicaments génériques : aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits avec ces molécules ; Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données par des médecins généralistes dès les premiers symptômes ; Et, contrairement aux vaccins et autres médicaments « innovants » et hors de prix, ces deux médicaments peuvent être facilement fabriqués en masse et distribués à toute la planète très vite, sans retard ni discrimination.Bref, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont, sur le papier, des remèdes parfaits pour faire face à une épidémie mondiale comme la Covid-19.Mais l’ivermectine présente aussi des qualités assez nettement supérieures à l’hydroxychloroquine : L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquineL’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle[11] ! Par ailleurs, dans de très rares cas (1/10 000), l’hydroxychloroquine peut provoquer un trouble du rythme cardiaque – on ne connaît pas de problème de ce type pour l’ivermectine !Il n’y a donc strictement rien à perdre et tout à gagner (des hospitalisations à éviter et des vies à sauver !) à prescrire massivement l’ivermectine en cas d’infection au coronavirus.L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquineQuoi qu’en disent BFM TV ou l’AP-HP, il est clair que l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement. C’est la conclusion qui ressort de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde[12], sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille. Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital.C’est déjà beaucoup mieux que rien, évidemment, et il était criminel d’interdire ce médicament.Mais avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires : En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection ; En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 % !C’est la conclusion des méta-analyses qui ont été réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill[13] comme celle du Dr Pierre Kory[14].Il y a même eu quelques articles de presse sur cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times[15] : ![]() ![]() ![]() Et ont été moitié moins nombreux à recevoir de l’oxygène (à domicile).Comme toujours, ces résultats ne sont pas « significatifs statistiquement », faute de patients en nombre suffisant.Mais ils sont positifs et parfaitement cohérents avec les autres études sur l’ivermectine !Problème : une fois de plus, on monte en épingle comme « négative » une étude peu concluante statistiquement, mais globalement positive !Et tous les corrompus et idiots utiles du système vont pouvoir vous dire en chœur, « vous voyez, il n’y a pas de complot, l’ivermectine ne marche pas ! ».Alors qu’il ne fait aucun doute que l’ivermectine est très efficace contre la Covid-19 !Plus de 20 études randomisées le prouvent !Des médecins du monde entier observent de leurs yeux son efficacité, avec des patients qui s’améliorent en quelques heures, après la prise du traitement !La mortalité a chuté dans les États et les régions qui ont massivement utilisé ce médicament.Cette omerta, cette censure et ce sabotage, c’est CRIMINEL, HONTEUX, INSUPPORTABLE !!!!Transmettez cette lettre autour de vous. On ne peut pas accepter, une nouvelle fois, la censure d’un traitement qui marche.Bonne santé,Xavier BazinPS : DERNIÈRE MINUTE – les médecins courageux commencent à se multiplier, c’est heureux ! Tout récemment, le Pr Pierre-Jean Guillausseau, ancien chef de service à l’hôpital Lariboisière et professeur émérite à l’université Paris 7, a examiné les études en présence et conclu[22] : « Je termine une revue sur Ivermectine et COVID-19 à paraître dans Horizons&Thérapies.Les résultats des trois méta-analyses sont tous concordants et mon analyse critique de 3 essais randomisés et contrôlés de prévention et de 20 essais randomisés et contrôlés de traitement permet de conclure sans discussion à une diminution de 92% du risque de transmission en prophylaxie par l’ivermectine et à une diminution de la mortalité de 75%, ainsi qu’à une diminution significative de la durée d’hospitalisation et du délai de guérison grâce au traitement par l’ivermectine de patients atteints d’une COVID-19… et pourtant ce traitement n’est ni recommandé ni même autorisé (quoi que nous ayons le droit de prescrire hors AMM sous certaines conditions).Il faut savoir que l’Ivermectine n’a pas d’effets secondaires.Message à nos politiques et à nos autorités de santé: de grâce, d’urgence donnez ou faites donner une RTU (Recommandation Temporaire d’Utilisation) à l’Ivermectine ! »Espérons qu’il sera écouté ! 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