Vaccins Covid : qu’est-ce qu’un WBAN ou « nano réseau intracorporel sans fil » ?
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Hier, nous avons évoqué dans nos lignes les travaux non officiels de scientifiques sur le contenu des quatre « vaccins » contre Covid inoculés en Occident. La découverte de nanotechnologies non déclarées nous pousse à comprendre l’utilité de ces dispositifs dans un vaccin. Les éléments identifiés s’apparentent très fortement à l’injection d’un Wireless Local Area Network (WBAN) ou nanoréseau intracorporel sans fil dont l’existence est confirmée par des publications scientifiques dans le domaine de la médecine de pointe.
Nous avions indiqué dans notre article d’hier que nous proposerions des extraits du dossier récemment mis à disposition sur le Courrier des Stratèges. L’extrait du dossier de 53 pages proposé ici permet d’introduire ce qu’est un WBAN dans un langage compréhensible pour tous. Les liens hypertextes permettront aux lecteurs qui le souhaitent d’approfondir la réalité scientifique de ces dispositifs.
Qu’est-ce qu’un WBAN ?
« Dans leur configuration actuelle et à partir de la littérature scientifique publique, on constate qu’ils (WBAN) font appel aux nanotechnologies et sont généralement conçus pour traiter de la surveillance et de la détection de l’ensemble du système du corps humain. L’objectif principal de ces réseaux est de transmettre des données produites par les nanotechnologies intracorporelles vers un réseau WLAN (Wireless Local Area Network) ou Internet. Les activités internes de l’organisme sont ainsi surveillées comme par exemple les maladies chroniques à partir des capteurs dans le corps de la personne sous surveillance médicale. Il s’agit d’une surveillance biotechnologique constante et de fait particulièrement intrusive.
Source : Jafari R, EffatParvar M, Computer Science, 2017.
La littérature scientifique sur ces nanoréseaux sans fil abonde et nous nous appuyons seulement sur quelques récentes publications pour présenter ce volet.
Si le graphène est le nanomatériau clé pour les réseaux de nanocommunication, d’autres études portent sur la propagation des réseaux sans fil à travers l’air contenu dans les alvéoles pulmonaires, comme l’explique le travail de Akkaş M.A. publié en 2019. Nous nous appuyons ici sur la traduction de Xochipelli qui est l’un des rares sites où l’on trouve les travaux de divers scientifiques sur le contenu des vaccins (dont le Dr Mik Andersen ou le Dr Campra).
Un outil de surveillance intracorporel
L’idée de développer la nanotechnologie pour mesurer et enregistrer les événements et les changements dans le corps humain s’appuie sur la mécanique quantique (cf. Richard Feynman, There’s Plenty of Room at the Bottom, 1959). L’un des objectifs de ce domaine de connaissances est la création de nanocapteurs capables de fonctionner de manière coordonnée à l’échelle nanométrique, afin de pouvoir transmettre des informations et des données sur l’état de santé des personnes, ou de développer des applications biomédicales complexes. À cette fin, un réseau de nanocommunications pour les nanocapteurs, également connu sous son acronyme WNSN (Wireless Nanosensors Networks ou WBAN, cf. supra), doit être déployé. Selon les chercheurs, un tel réseau a besoin d’antennes de taille nanométrique, fonctionnant avec des antennes compatibles sur les bandes de la gamme Tera Hertz (ondes électromagnétiques), capables de propager le signal efficacement, sans perte. De cette façon, les nanocapteurs sont interconnectés dans le réseau sans fil pour une action coordonnée, transmettant les données à un nœud passerelle, qui pourrait être un téléphone mobile ou toute antenne téléphonique, qui enverrait automatiquement les informations à l’hôpital via Internet.
Si l’on accepte l’utilité d’un réseau WBAN pour le traitement de maladies graves et/ou chroniques, cela est réalisé avec le consentement du malade. Ce n’est nullement le cas avec la vaccination Covid où la présence d’un tel dispositif n’a jamais été mentionnée ni dans la composition des sérums vaccinaux ni au moment de l’inoculation des sérums aux citoyens. L’utilité d’un tel dispositif potentiellement inoculé à des milliards d’individus n’est visiblement pas avouable…