Chère amie, cher ami,
Pendant longtemps les grands professeurs, les chercheurs, les épidémiologistes indépendants se sont tus.
Les épidémiologistes attendaient d’avoir plus de chiffres, les généticiens d’avoir des informations précises sur le séquençage du virus, les médecins d’avoir une idée plus nette des résultats de leurs traitements.
Ils ont été prudents.
Ils ont eu raison.
Petit à petit, ils commencent à parler.
Christian Perronne à Sud Radio
L’un des premiers à avoir tiré est le Pr Christian Perronne, infectiologue, responsable des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches, qui est dans le système médical depuis très longtemps.
Il s’est exprimé sur Sud Radio au mois de juin (vidéo ici).
En substance, il disait que le Pr Didier Raoult avait eu raison d’utiliser l’hydroxychloroquine et l’azithromycine et que ceux qui s’étaient opposés à lui étaient payés par l’industrie pharmaceutique.
A l’hôpital de Garches, ce traitement a été prescrit avec satisfaction. Cet hôpital est l’un de ceux où le taux de mortalité a été le plus faible.
Il a ajouté que le niveau de corruption dans le monde médical et scientifique n’avait jamais été aussi élevé1.
Il a confirmé ces propos dans une autre interview ici2 dans laquelle il glisse :
“ Les pays les plus riches, qui ont été le plus sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, sont les pays où la mortalité est la plus élevée. C’est très choquant (…). La médecine française est tombée dans le caniveau. ”
Les médecins libres américains se rebiffent
Ce point de vue a été confirmé aux Etats-Unis par un groupe de médecins qui se sont réunis pour faire une déclaration publique. La vidéo se trouve ici. Elle a été retranscrite en français.
Ces médecins ont affirmé3 :
1/ Que les Américains avaient été victimes d’une campagne de la peur ;
2/ Que l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et le zinc fonctionnent en début de maladie ;
3/ Que nombreux médecins ont été priés de se taire par leur hiérarchie lorsqu’ils avaient de bons résultats grâce à ce traitement ; certains ont été menacés ;
4/ Que les enfants tolèrent très bien la maladie et ne la transmettent pas à leur entourage. Il n’y a pas eu dans le monde de cas documenté de transmission du virus par un élève à ses professeurs. La transmission se fait davantage chez les personnes âgées.
5/ Que le confinement, aux Etats-Unis, a créé des problèmes de santé publique : +600% sur les suicides, plus d’alcoolisme, plus de violences conjugales, etc.
La vidéo a été publiée sur facebook, vue par 600 000 personnes, puis censurée. Elle a été restituée sur des sites alternatifs.
“En Israël, il y a plus de ministres que de personnes sous respirateurs !”
Le Pr Yoram Lass est l’ancien Directeur de la santé en Israël.
Il explique dans une interview pour un média francophone4 que depuis le départ on en fait trop.
Il estime que les analyses montrent que le virus n’a plus de force et que l’épidémie est terminée.
Pour lui, le nombre de personnes touchées par le virus continue d’augmenter mais le virus ne tue plus.
Et donc, si l’on teste, on se retrouve mécaniquement avec plus de personnes “malades” mais ces personnes n’ont ni symptômes ni risque de mourir du virus.
En réalité, elles ne sont PAS malades.
Pour lui, ce qui compte c’est le taux de mortalité.
Il affirmé, dépité, qu’il n’y a plus de morts du coronavirus en Israël, qu’il n’y a pas eu de deuxième vague et “qu’il y a plus de ministres que de personnes sous respirateur”.
Pour lui, tout cela est de l’hystérie.
Le Pr Jean François Toussaint abasourdi les journalistes
Enfin sur LCI (vidéo ici), Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à Paris-Descartes explique à son tour, devant un journaliste éberlué, que l’épidémie s’est achevée5.
Il explique :
“ On nous a dit qu’il y allait avoir une deuxième vague après le relâchement d’avril, – pas de deuxième vague, qu’il y allait en avoir une au déconfinement de mai, – pas de deuxième vague, qu’il y allait en avoir une après la fête de la musique où il y a eu des rassemblements très large. Il n’y a en pas eu non plus. Les clusters n’ont pas été suivis d’une augmentation de la mortalité. Or une pandémie se mesure au taux, malheureusement, de patients qu’elle emporte. ”
Il rappelle par ailleurs que la moitié de la mortalité a touché des personnes de plus de 84 ans.
Il analyse ensuite les courbes française et européenne.
Il y a eu un pic de mortalité en avril, et désormais les choses sont revenues à la normale.
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